Contenus en rapport avec le mot-clé budget de la défense

Il atteindrait 106 milliards d’euros en 2024. Cette envolée illustre la détermination de Moscou à poursuivre son intervention militaire en Ukraine malgré le coût humain et économique

La faiblesse des stocks stratégiques des pays européens comme les failles de nos capacité de production industrielle pourraient bien être en cause

Le gouvernement allemand prévoit une enveloppe record de 50 milliards d'euros consacrée aux dépenses militaires

Jean-Louis Thiériot, député LR de Seine-et-Marne et membre de la Commission Défense de l’Assemblée nationale, vient de publier un rapport d’information sur la préparation à un conflit de haute intensité. Face à la guerre en Ukraine, la France et l’Europe doivent-elles adapter leurs capacités de défense ?

Le Sénat américain a approuvé, début août, la loi sur le budget de la défense allouant 69 milliards de dollars pour les opérations extérieures et une augmentation de 2,6% des salaires des membres des forces armées.

Le président américain a indiqué qu'il avait réussi à faire évoluer la position de ses alliés sur les questions budgétaires liées à l'OTAN, en marge du sommet décisif à Bruxelles.

Nous assistons à un changement brutal de cycle. L’illusion des « dividendes de la paix », mantra des tenants de l’idéalisme en politique internationale, se dissipe brutalement, cependant qu’un nouveau cycle des relations internationales s’ouvre.

Emmanuel Macron n’a pas (encore) de programme, mais il plagie allègrement les autres candidats (ou la réalité elle-même). Il était amusant de relever quelques-uns de ces plagiats, notamment lors du discours qu’il a prononcé à Lyon samedi 4 février.

Un rapport publié récemment par l’association britannique War on Want a révélé la présence grandissante des sociétés de sécurité dans les zones de conflits à travers le monde.

Les attentats dont la France a été victime Vendredi dernier à Paris remettent en questions les réponses que le pays peut donner en termes de moyens. Si autrefois la France était une des plus grandes puissances, depuis 20 ans elle ne se donne plus les moyens d'en rester une, et les attaques de Paris en sont une conséquence.

Prise d'otages de masse à Paris, manque de leadership en matière de sécurité nationale, visions politiques court-termistes... Nombreux sont les dangers potentiels dont la France doit se protéger.

Les effectifs de la force opérationnelle de l'armée de Terre seront renforcés de 66.000 à 77 000 militaires, et les nombreuses suppressions de postes des dernières années seront ralenties.

Le chef de l'Etat a confirmé le maintient de l'opération antiterroriste intérieure "Sentinelle", qui implique la mobilisation de 7 000 militaires, au lieu des 10 000 mobilisés jusqu'à aujourd'hui.

Le rôle essentiel joué par la police, l'armée et la justice après les attentats pourrait justifier qu'une partie des 670 milliards d'euros normalement dévolus aux prestation sociales leur soit attribuée.

Le gouvernement fait peser une lourde partie des restrictions budgétaires sur la Défense. Même si elle a été mis à contribution sur le plan budgétaire et qu'elle va se préparer à une baisse de ses effectifs, d'autres dispositions plus méconnues du grand public accroissent un peu plus sa contribution, et renforcent son affaiblissement.

Les Français sont conscients des difficultés budgétaires que traverse notre pays mais la moitié d'entre eux plaide pour un maintien conséquent du budget de la défense pour répondre aux menaces qu'ils perçoivent, selon un sondage exclusif Ifop pour Atlantico.

Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian et l'état-major des armées mettent la pression sur Matignon et l'Élysée pour préserver les crédits de la Défense de nouvelles coupes.

Selon Le Figaro, le ministre de la Défense a écrit à Manuel Valls afin de le mettre en garde des conséquences "très lourdes" qu'auraient des restrictions budgétaires.

D'après le quotidien Les Echos, le ministère des Finances réfléchit actuellement à de nouvelles coupes sur le budget de la Défense, les économies pouvant porter jusqu'à 2,3 milliards d'euros.